They don't know about us { Luka

Tu étais près à juré que tu entendais battre son pouls quand tes lèvres touchèrent les siennes, mettant le feu aux poudres. Si tu ne devais plus ressentir qu’une seule émotion jusqu’à la fin de tes jours, tu voudrais que se soit celle-là. Tu ne cherchais plus les raisons pour lesquelles tu l’embrassais, il n’y avait plus que vous, plus rien n’avait d’importance. Tu avais souhaité en arriver là depuis toujours et maintenant que ça se produisait tu ne reculerais devant rien pour aboutir à tes fins. Tes idées partaient dans tout les sens, tu ignorais à qu’elle point c’était mal, tu ne pouvais t’en empêcher. Tu avais envie d’elle comme personnes dans ce monde. Tu la désirais, il fallait que tu la possède.

Tu glissas doucement tes mains sur ses hanches, la rapprochant de ton bassin. Tu as le souffle court, vos lèvres s’entremêlant toujours l’une contre l’autre. Tu ne sais plus ce que tu fais, tu ne penses plus à rien. Tu ne veux rien d’autre que te concentrer sur son corps fragile contre le tient. Sur la façon d’en ta langue épouse la sienne, sur le gout de celle-ci. Tu passes furtivement tes mains sous ses cuisses la soulevant du canapé. Instinctivement, tu la plaque contre le mur ses jambes s’enroulant autour de ta taille.

Tu traverses le long corridor, Barbara toujours dans tes bras, vos lèvres toujours soudé. Une fois devant la chambre –la plus près à vrai dire- tu y entre, la porte se balançant dans un fracas tumultueux. N’y prêtant pas attention, tu te diriges vers le lit où délicatement, tu y dépose Barbara, te retrouvant sur le dessus. Ton regard rencontre le sien, tes yeux pétillants de désirs. Tu enfonces alors tes longs doigts dans sa peau, venant chuchoter quelque chose à son oreille. « Putain, j’ai envie de toi. » Conscient que cette phrase pouvait être vulgaire, tu t’en foutais car c’était la vérité. Le Luka pervers avais fait surface, elle te mettait dans tout tes états. Tu étais près à tout, s'en n’était presque douloureux.

A cet instant précis, tout avait disparut autour des deux jeunes. La jeune femme ne pensait à rien d'autre que lui, que cette sensation, que se moment précis là. Que ses lèvres qui se déplacent sur les siennes, ça lui fait un bien fout. Ressentir toute cette vague d'excitation, de bonheur, de plaisir, d'envie. Et encore les mots sont si faibles pour décrire le moment présent. Une chaleur monta dans le corps de la jeune fille alors que le brun continuer tendrement de mouvée ses lèvres contre les siennes, sa main dans sa nuque jouant avec ses cheveux, elle le tenait comme si ça propre en vie dépendait, comme ci elle avait peur qu'il ne s'évapore comme un simple rêve. Mais non il n'était pas un rêve t se fut ses léger doigts sur la peau de tes hanches qui te signaler bien la réalité de se moment. Une onde électrique se propagea en toi. Tu n'avais pas eut de telle envie depuis longtemps. Depuis Ethan finalement. Mais se n'était pas pareil, non. Ethan avait toujours été doux mais là. C'est comme-ci leur vie en dépendait. Au tant celle de luka que la sienne. Quand les bras du jeune homme vinrent la soulever.

Automatiquement elle les enroula à sa taille et son dos percuta avec douceur le mur du salon, la tension entre eux augmenta violemment. Elle avait vraiment envie de lui, il avait vraiment envie d'elle, alors rien ne pourrait stopper les deux meilleurs amis dans leurs pulsions sexuelle. Elle ne regretterait en aucun cas cette nuit, se moment. Elle en était heureuse, elle avait peut être peur de l'avenir de cette soirée. Mais elle ne devait absolument pas y penser. Puis il prit la direction d'une des chambres. Laquelle ? Qu'importe. La porte s'ouvrit dans un fracas qui amusa la demoiselle. Se retrouvant le dos contre la couverture d'un lit. Elle reconnut la chambre de Luka, donc c'était dans la sienne que tout allait se passer. Ses doigts revinrent sur sa peau chaude, brûlante sous son contact si électrique la faisant frissonner.

« Putain, j’ai envie de toi.»

Vint il lui murmurer à son oreille, une nouvelle vague se fit sentir en elle. Le regardant, se mordillant la lèvre. Elle balaya le corps du jeune homme de son regard luxurieux. Puis automatiquement ses mains passèrent sous le chandail du jeune homme. Venant toucher sa peau, ses tatouages. L'encre se faisait ressentir. Combien de fois avait-elle rêver de faire ça ? Il était maintenant au bout de ses doigts. Elle retira le t-shirt du brun, le regardant avec cette étincelle. Se redressant venant murmurer à son tour.

« Moi aussi Luka... Moi aussi j'ai envie de toi.. »

Une multitude de frisson te traversèrent l’échine au doux contact de ses doigts sur ta peau, ses doigts venant délicatement caresser tes tatouages. Tu t’étais imaginé cette scène ô combien de fois, mais aucune n’égalait ce que tu ressentais en ce moment. Qui sait avec combien de fille tu avais couché ? Or cette fois c’était différent, il y avait quelque chose en plus. C’était comme si à chaque seconde, le temps t’éloignait d’elle, que votre entière existence y dépendait. Puis, quand Barbara venu te débarrasser de ton t-shirt, tu te mordis instantanément l’intérieur de la joue un sourire ludique se dessinant sur tes lèvres. « Moi aussi Luka... Moi aussi j'ai envie de toi. » Elle ne te donnait pas le choix. Soi tu partais, sois tu la baissais et entre ces deux options tu avais choisis, il n’y avait pas moyen que tu la laisses. C’était si peu naturel, si étrange de l’entendre dire ça… Mais en même temps si sexy. Tu avais presque jouis en entendant ses paroles se glisser furtivement entre ses lèvres, on aurait presque pus t’entendre crier fuck à un km à la ronde. Barbara était différente de toutes celles avec qui tu avais l’habitude de coucher, en un seul mot elle avait réussis à perturber ton équilibre sexuel.

Tu te mordis l’intérieur de la lèvre inférieure, une lueur de désir traversant ton regard. Tu te penchais à nouveau vers elle tes lèvres venant délicatement caresser l’intérieur de sa nuque. Tes mains venaient se balader sous son débardeur, s’aventurant un peu plus près de sa poitrine. Tu l’entendis gémir en enfonçant profondément tes doigts dans sa peau. Et quand à ton tour tu gémis, tu écoutes l’harmonie de vos râles, sans doute le son le plus sexy que tu n’avais jamais entendu. Et ce fut le déclic…

Comment pouvais-tu être aussi stupide ? Comment avais-tu fais pour en arriver là ? Tu ne pouvais pas abuser d’elle comme tu le faisais en ce moment, c’étais impossible. Tu te l’étais promis, depuis le premier jour tu te l’étais promis. Elle ne pouvait ressentir ce que tu toi tu ressentais. Elle t’avait avoué souffrir, souffrir à cause de ce con d’ex. Elle ne voulait qu’oublier… Et toi tu avais été assez naïf pour croire que ce soir c’était différent, qu’il y avait une pointe d’amour dans toute cette histoire de merde. Tu aurais voulu croire, croire à cette aberration, mais non, tu avais la certitude que tout étais faux. Finalement, rien n’étais différent de l’ordinaire.

Subitement, tu te dégageas rudement de la demoiselle. Tu ne pouvais croire à ce qui c’était passer. Pourquoi, pendant ces quelques minutes de bonheur, tu avais cru à ce bordel? C’était clair et maintenant tu voyais dans son jeu.  « Je peux pas...» Froidement, tu te relevais l’évitant du regard. Tu attrapais ton t-shirt reposant sur le sol et te précipitait vers l’entré, délaissant la blonde sûrement confuse et perdu face à ce rejet soudain. Tu étais incapable, c’était contre tes valeurs. Y attrapant un manteau, des chaussures et tes clefs, tu sortais à l’extérieur –ne prenant aucune importance à cette heure tardive- claquant la porte dans un bourdonnement fracassant.

L'ambiance avait littéralement changer. Se n'était plus cette simple entrevue entre meilleurs amis, tout avait dérivé. Se n'était plus se cinéma si simplet aux yeux de la jeune femme, se n'était plus se moment de tendresses si habituelle entre vous. Non cette fois, il y avait une tension électrique palpable entre les deux jeunes. Ils se regardaient de manière complices, un éclair d'envie passant a travers leur regard. Leurs mouvement coordonnée comme s'il c'était toujours préparé à cet instant. Elle oui. Elle avait toujours rêves d'avoir se corps pour elle, de pouvoir caresser ses tatouages sans avoir peur de sa réaction. Elle avait toujours voulut l'embrasser. L'embrasser avec envie, mais peut être aussi avec cette pointe d'amour que la belle blonde se refusait parfois d'admettre. A elle même. Ou aux autres l'entourant. Non se soir ce n'était plus pareil. Elle était à lui au tant qu'il était à elle. Se soir tout prendrait un autre sens. Il la voulait au tant qu'elle le voulait bien évidemment.

Ses doigts dessiner les traits du torse musclé et tatoué. Tandis que les siens s'enfoncer dans sa peau presque dénudé maintenant. Sa respiration était plus lourde et saccadé par se désir ardent qui la traversait une nouvelle fois, elle ne put d'ailleurs réprimander un gémissement de plaisir quand le bouclé toucha sa poitrine. C'était un endroit sensible pour Barbara. Elle ne pouvait s'empêcher d'avoir une seconde bouffé de chaleur, une seconde ? Mais que racontais-je. Une énième bouffé de chaleur, de plaisir et d'envie. Tout a la fois. Elle le voulait vraiment et ne pourrait sans doute plus s'en passer après cette soirée, Visiblement, le bouclé ressentait la même chose. Ses lèvres descendaient dans son cou avec sensualité. Elle gémissa de nouveau alors que ses mains plongèrent à l'aventure dans ses boucles brunes tandis qu'il continuait. Et de ses mains il caresser la poitrine. Mais voilà. Se fut comme un rêve éveillé et tout se stoppa.

Le brun murmura quelques choses. Se redressa alors soudainement quittant le corps de la blondinette qui avait beaucoup de mal à relié ses pensés correctement son cerveau trop embrumé par se changement si soudain de... D'humeur ? Elle cherchait à croiser son regard, mais se dernier contrairement, éviter à tout prix le regard bleu de la demoiselle. Le cœur de Barbara retomba lourdement dans sa poitrine, une nouvelle faille se créant. Donc elle le dégoûtait c'est ça ? C'était l'impression qu'elle avait en tout cas. Sans rien demander plus, il sortit en claquant la porte. Et la porte d'entrée claqua à son tour. La chanteuse mit du temps avant de comprendre se qu'il venait de se passer. Se repliant sur elle même. Ses genoux prêt de sa poitrine, les bras autour de ses dernier. Le regard vide. Ses yeux devinrent alors scintillant. Son cœur se briser. Non, il était complètement détruit pour la seconde fois. Par un homme encore.

Sans se contrôler un sanglot s'échappa. Les larmes couler en rafale sur ses joues. Elle n'arrivait pas à savoir qu'elle erreur elle venait de commettre pour s'enfuir à toute hâte de cette manière. Non, se n'était pas une erreur. Elle était l'erreur. L'erreur dans la vie du brun. Posant sa tête dans ses bras, elle pleura silencieusement. Incapable de faire quoi que se soit pour le rattraper. Elle venait sans doute de briser leur amitié comme il venait de lui briser le cœur lui aussi.

C’était comme recevoir une gifle en pleine gueule, la douleur plus vive, plus dure à encaisser. Ce n’était qu’un rêve, un mauvais rêve interminable. Tu avais été impuissant, tu avais agit comme un lâche en choisissant la facilité. Certes, tu étais trop con pour comprendre que le problème venait de toi. Elle ne te méritait pas, elle ne t’avait jamais mérité. Ça faisait mal de te le dire, mais tu ne serais jamais l’homme de sa vie. Tu étais Luka, le mec née sous une tonne de saleté. Personne ne te méritait, tu ne méritais personne. Tu n’étais qu’un pauvre con, un connard de trop dans ce monde trop petit. Sinon, pourquoi dieu se serait-il entêté à t’offrir cette vie? Qu’elle aille se réfugier dans les bras de cet abrutie, de toute façon toutes avait une plus grande valeur qu’un Luka totalement désarmé, un Luka tout cour. La colère c’était emprise de ton cœur, de ta tête, de ton corps. Non pas contre Barbara ou même Ethan. Non. Tu étais en colère contre toi et toi seul. Tu aurais voulu te gifler, tu l’aurais bien mérité, mais il était trop tard. Trop tard pour faire demi-tour, trop tard pour vouloir t’excuser auprès de Barbara. La vie t’avait fait tombé et tu ignorais si un jour tu serais capable de te relevé. Ici, dans la rue, tout te paraissait plus sombre, maudit. Tu étais à ta place, c’est ici que tu méritais de passer le reste de la soirée.

Et de son côté, Barbara avait été détruite. Tu l’avais détruite, mais ça tu l’ignorais. Tu avais encore une fois blessé cette fille. Pourquoi avait-elle continué de te considérer comme un ami, son meilleur-ami. Ce soir ce fut la fin de ce si belle complicité, de ce cinéma. Il fallait que tu l’abattre à plein vif, que tu anéantisses tout. Elle n’avait pas essayé de te rattraper, mais ce n’était qu’un détail qui ne t’importait plus. Du moins, en ce moment tu le pensais. La colère et la tristesse t’aveuglèrent, tu ne savais même pas où aller.

L’air froid de la nuit te transperça la peau, comme des millions de petites lames. Une grimace au visage, tu descendis les marches de votre appartement, t’éloignant de ce lieu à toute vitesse. Tu fuyais, le visage rouge, t’efforçant de ne pas laisser couler les larmes. C’était trop difficile, trop difficile de ne pas pleurer pour cette fille. Car tu l’aimais, tu étais ivre de cette amour, tu ne vivais plus sans elle… Et voilà que tu t’en éloignais. Pour son bien, tu t’en éloignais. Tu te mis à marcher dans l’obscurité, sur les rues maintenant déserte de la Floride. On aurait cru voir un zombie, mais ce n’était qu’un Luka dévasté, totalement ravagé. Marchant la tête base, tu ignorais ou la route t’emporterais, tu aimais mieux ne pas y penser pour l’instant.

...

Tu avais une difficulté folle à monter ces putains d’escalier. Merde, elle ne pouvait pas une minute arrêter de bouger dans tout les sens ? Tu restas assis, là sur le sable cherchant une façon efficace de monter sans te planter la figure sur le bois traiter. Mais c’était une question beaucoup trop compliqué, tu décidas alors de foncer et une fois en haut tu crias : Victoire, levant mollement tes bras dans les airs, une forte nausée se faisons ressentir. Tu posas une main sur ta taille et l’autre sur la rampe du balcon, t’attendant à tout moment de dégueuler. Même soul, tu étais conscient des évènements du passer et en n’y pensant tu eu un autre haut le cœur. « Fuck, tu es méchant Luka, méchant, méchant ! » Parlant à toi-même, les voisins auraient pus t’entendre. Et tu fis pris d’un fou rire, sans doute riant de ta propre connerie. Tu ne pouvais pas entrer. Ivre mort, tu craignais d’être encore plus mort si tu tombais subitement sur Barbara. Merde, qu’est-ce que tu allais faire ? Bon tu n’avais pas le choix, tu n’allais tout de même pas dormir sur le balcon. Tu décidas alors d’empoigner la poignée, mais réalisant qu’elle était fermer à clef –bien sur, où avais-tu la tête- tu inséras ta clef, manquant de deux centimètre la serrure. Ludique tu rigolas, avant de pouvoir tourner la poignée sans difficulté. L’appartement était plongé dans le noir, tu ne pouvais voir le bout de ton nez. Tu marchas alors sur la pointe des pieds jusqu’au corridor, craignant de peut-être réveiller la blondinette. Mais tu manquas ton coup et t’enfargeas dans un objet traînant au sol. « Aye, Putain !! » Manque de chance, tu t'étais certainement fait repéré.

Bon tu avais peut-être un peu trop consommé. Peut-être ? Peut-être n’était pas le mot. Tu avais voulu noyer ta tristesse dans l’alcool et ça t’avais semblé être une bonne idée, au départ. Mort ivre à 1h du matin, ça te faisait rire. Certes c’était loin d’être drôle. Si seulement tu pouvais te servir un peu de ta tête. Mais non, ça te semblais facile d’utilisé la boisson comme seul recours. Personne ne pouvait te comprendre, tu n’avais rien fait de mal. Bon, tu étais assez mal placer pour penser à un truc pareil. Tu aimais te dire que c’était l’alcool qui parlait, qui disait des trucs con à ton place, mais tu savais que c’était faux. Le sourire que tu affichais disparue à la vue d’une Barbara, sa bouille remplie de tristesse. Merde, c’était toi qui avais ça ? Elle referma brutalement sa porte derrière elle et tu portas tes mains à ton oreille toujours allongé sur le sol, comme pour te protéger de cette violence soudaine. Une fois le calme revenue tu regardas le plafond songeur. Elle l’avait bien cherché, non ? Tu te relevas avec difficulté, tes mains supportant le lourd poids de tes épaules de repu. Bon, d’après ce que tu pouvais voir, tu avais mal agit... Pourquoi est-ce que tu devais absolument être le problème.

Tu marchais ou plutôt titubais jusqu’à la porte de sa chambre, du moins tu t’imaginais que c’était sa chambre, légèrement bouleverser pas ton environnement. Il ne te manquait plus que de t’avoir trompé d’appartement. Tu appuyas ton front contre celle-ci. Sois tu cognais et qu’elle ne te répondait pas, sois tu entrais dans le seul but de l’énervé encore plus. Saoul ou pas, tu décidas de cogner et d’une voie rauque et pâteuse tu lui dis : « Bibiche, j’ai fais quelque chose de mal ? T’est fâché parce que je n’ai pas voulue te baiser c’est ça ? Oh crois moi j’aurais aimé baiser ton petit cul… » Tu te stoppas un instant, avalant ton fou rire menaçant de refaire surface. Tu t’assis au pat de sa porte, un faux sourire aux lèvres ta tête se percutant douloureusement contre celle-ci. « Putain, je peux entrer, hein bibiche !! S.V.P.! » Tu te demandais ce qui se serait passé si vous aviez réellement couché ensemble, mais il était trop tard, tu ne le saurais jamais. L’alcool te disait que tu aurais du en profité, mais le Luka en toi te disait tout le contraire. Tu te murmuras à toi-même « J’aurais pus en profité… » Définitivement, tu n’étais qu’un gros salop.

Après avoir vu le jeune homme rentrer totalement défoncer par l'alcool dans l'appartement la jeune femme aux cheveux blond n'avait pas supporter de le revoir après se soir. Elle était profondément blesser. Peut être que finalement elle ne l'attirait pas ? Peut-être finalement qu'il ne la voulait pas car elle le dégoûte ou autre chose ? Elle ne comprend pas. Ne comprendra très certainement jamais le comportement du boucler. Son cœur était si lord qu'elle aurait put croire qu'il allait finir par cesser ou sortir de sa cage. Elle avait envie de se le retirer pour évacuer toute cette peine.

Claquant donc sa porte de chambre ses jambes ne la portèrent pas jusqu'à son lit car elle s'effondra sur place à genoux en pleurant de nouveau. Non elle n'allait pas s'en remettre avant un long moment. Elle était tellement dans un état pitoyable qu'elle se dégoûtait presque elle même. Sa gorge était si serré que sa respiration avait dus mal a passer. Le jeune homme frappa au bois de la porte en lui... Parlant. Il demandait si la jeune femme était vexer car il ne... Ne l'avait pas baiser. Son regard devint livide. Son coeur loupa un battement alors que sa respiration était totalement bloqué. Comment osait-il dire une chose pareille...

Il osait... Certes saoul. Mais comment... Pourquoi ? Mais qu'avait-elle fait... Son cerveau embrouillé elle prit son visage en main pleurant encore plus elle demandez alors au travers de sa voix briser

-pourquoi tu veux rentrer hin Luka dit moi !? Pour... Pour pouvoir finalement me baiser ?! Maintenant que tu es saoul, comme ça tu ne verra plus ma gueule tellement tes yeux sont noir avec l'alcool ?! Tu veux me baiser comme toutes les autres salopes que tu... Tu ramènes tout les soirs dans l'appartement...

elle n'arrivait plus a parler. Sa voix était trop couverte par son sanglot

« Pourquoi tu veux rentrer hin Luka dit moi !? Pour... Pour pouvoir finalement me baiser ?! Maintenant que tu es saoul, comme ça tu ne verras plus ma gueule tellement tes yeux sont noir avec l'alcool ?! Tu veux me baiser comme toutes les autres salopes que tu... Tu ramènes tout les soirs dans l'appartement... » Même saoul, les paroles de Barbara poignardaient douloureusement ta dignité, te dessaoulant presque du coup. Comment pouvait-elle croire à ce qu’elle venait de t’avouer ? Il n’y avait jamais eu une seul goute de vraisemblable dans ce que tu avais pus lui dire. Elle aurait du le savoir, elle n’avait pas le droit de pleurer pour un mec comme toi. Tu regardas le sol, ton visage dépourvu d’expression… Seulement, tu ne pouvais t’empêcher de sourire bêtement, sourire pour essayer de te tromper, te dire que rien de tout ça n’était en train de se produire. L’alcool avait dissipé toute douleur, et ces paroles ne t’agacèrent que d’avantages. Tu balanças la tête par en arrière et roulas des yeux. Et pourtant elle avant raison, elle avait raison sur toute la ligne. Tu avais fait passer tes problèmes avant ceux de la jeune. Il était trop tard, trop tard pour faire tes excuses auprès de la blondinette.

Pourquoi tu avais bu encore ? Oh oui, parce que la douleur était tellement vive. Tu aurais eu besoin de points de sutures, tu en avais encore besoin, pour supporter la bêtise que tu venais de faire. Et l’alcool avait encore parlé, pendant un moment tu n’avais plus pensé.  Tu avais levé ton verre vers la barmaid en réclamant d’autre et celle-ci t’avais traité de connard, mais ce n’était pas ce qui t’avais arrêté. Et te voilà maintenant, assis contre la porte de Barbara exigeant des excuses. C’était pathétique, mais tu en n’étais pas conscient, tu t’en foutais, t’efforçant à ne pas   y penser. Tu t’en rappellerais certainement pas demain et le pire dans tout ça, c’est que le mal que tu faisais ce soir, Barbara elle allait s’en rappeler. « T’as sans doute raison… Sauf que ce n’aurait pas été pareille, parce que toi je t’aime… » Tu lui avais dit la voie tremblante, basse. Tu te redressas, plantant la jeune fille en sanglot. Tu aurais pus disparaître six pieds sous terre, mais tu ne pouvais que disparaître dans ta chambre, verrouillant derrière toi.